Le bureau du Conseil de la Nation, présidé par Salah Goudjil a indiqué que l’Algérie de novembre ne pardonnera pas un tel acte d’un régime habitué aux manœuvres, au complot et à la violation continue des constantes nationales des pays voisins, ainsi qu’au déni des luttes des ancêtres, notamment, à l’époque de l’ère coloniale.
Dans un communiqué de la première chambre parlementaire, le bureau réuni à qualifié la déclaration du représentant marocain à New-York, d’ “inacceptable” et “déraisonnable”, tout en exprimant son espoir que la partie marocaine remédie rapidement à son infériorité et à sa chute scandaleuse.
Il l’a considère, également, comme étant une apostasie très avancée dans la violation du droit international, un glissement sans précédent dans l’abîme, et un effondrement flagrant d’une diplomatie insuffisante qui est entrée dans une phase de sottises et d’imprudence non calculée contre l’Algérie.
Pour le Sénat, la position marocaine qui n’a pas changé depuis des décennies, constitue un paradoxe “incohérent” et ” incompatible” avec la logique des relations internationales contemporaines, et représente la dissolution flagrante par le Maroc des principes de l’Union du Maghreb.
Assia.M