C’est la question constante que se posent tous les usagers de cet outil dit moderne et devant éradiquer les longues chaînes. Les utilisateurs de DAB ne savent plus à quel saint se vouer ou qui croire dans ce nuage de déclarations opaques.
Le manque de liquidités au niveau de tous les bureaux de paiement est un scénario qui se répète depuis des mois. Les responsables pensaient avoir trouver la solution en misant sur les DAB et le e-paiement ; erreur d’appréciation et de diagnostic soulignent les citoyens.
Ces derniers prennent leur mal en patience et se lève tôt dans l’espoir d’accéder à leur paie ce qui n’est toujours pas le cas.
A défaut de faire une longue chaîne dépassant souvent les 50 mètres, les plus malins optent pour les DAB. Un fort pourcentage de ces DAB est soit en maintenance soit non alimenté et c’est l’énervement des abonnés mensuellement.
De quel droit un DAB est mis souvent en maintenance ou n’est pas alimenté ? Les responsables devraient s’interroger sur ce comportement inacceptable qui fait souffrir des citoyens alors qu’ils ne demandent que leur droit : celui de retirer leur salaire ou retraite. Certains abonnés des DAB affirment que c’est une technique connue par les institutions que ce soit la poste ou les banques.
Des calculs financiers sont faits au détriment du client, au lieu de s’approvisionner au niveau de la Banque Centrale ces institutions financières n’aiment recourir à ce mode d’alimentation de leur DAB et Caisses juste pour ne pas payer des dividendes qui sont d’ailleurs répercutées sur les clients.
A quand la sortie de crise de comportement pour que le client redevient respectable et l’épargner des longues chaînes quotidiennes et mensuellement. Une image digne d’un pays du tiers monde des années 1940 qui doit être bannie selon les citoyens en recherche de leur salaire.
K. Benabdeli