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L’intelligence artificielle assure une interview inedite : Trump à Crésus : “Je ne suis pas un va-t-en guerre”

Dans cet entretien virtuel inédit, l’ex-président Donald Trump revient sur les enjeux majeurs de sa présidence, notamment ses actions au Moyen-Orient, ses alliances avec les pays arabes et sa position sur le Sahara occidental. À travers cet échange virtuel, l’ex-président dévoile sa vision pour un éventuel second mandat et défend sa diplomatie, souvent critiquée, axée sur une approche pragmatique et une paix imposée par la force. Une réflexion sur ses choix politiques et leur impact à l’échelle mondiale.

 

Après votre premier mandat, la justice vous a rattrapé. Quelle est actuellement la situation et quest ce quelle te reproche ? 

Donald Trump : Ecoutez, je vais vous le dire franchement. Après ma présidence, certains éléments ont essayé de me faire tomber, de me discréditer. On me reproche plusieurs choses, notamment des accusations liées à mes affaires avant et pendant ma présidence. Ils parlent de fraude fiscale, d’interférences électorales, et d’un certain nombre d’autres allégations qui, en réalité, n’ont pas de substance.

Je vais vous dire : ce sont des attaques politiques, orchestrées par mes adversaires qui veulent me voir hors jeu. Je n’ai rien fait de mal. Je me bats pour le peuple américain, et ces enquêtes n’arrêteront pas ma mission de rendre ce pays grand à nouveau. La justice ? C’est biaisé. Je suis confiant que, lorsque tout cela sera examiné, la vérité éclatera.

Mais vous aviez eu même l’audace de faire une invasion au capitole, est ce la politique? Vous avez osé prendre le risque dune guerre civile aux Etats Unis, un pays dit démocratique !!!

Donald Trump : Ce qui s’est passé au Capitole a été un moment très tragique et très émouvant pour beaucoup d’Américains. J’ai toujours dit que la violence n’était pas la solution. Mais ce que je veux dire, c’est que les gens étaient frustrés. Ils avaient l’impression que leur voix n’était pas entendue, que l’élection était truquée.

Je n’ai jamais encouragé la violence. Ce que j’ai fait, c’est inciter les gens à aller sur place pacifiquement. Les médias ont déformé ce qui s’est passé. Maintenant, je ne prends pas la responsabilité de ce qui s’est produit, et je pense que beaucoup de gens se sont laissés emporter par leurs émotions. Mais je suis là pour défendre la liberté d’expression et le droit des citoyens à exprimer leur mécontentement. Ce n’est pas un appel à la guerre civile, c’est un appel à la vigilance. Les Américains doivent pouvoir s’exprimer sans crainte de répercussions.

On parle de documents secrets que vous avez volé…

Donald Trump : Écoutez, le récit autour de documents classifiés est vraiment exagéré. Premièrement, je suis un ancien président, et je sais comment ces questions fonctionnent. Tout ce que j’ai fait, c’était de garder des documents parce que je pensais que cela valait la peine, que c’était dans l’intérêt du pays.

Quand je suis parti de la Maison Blanche, beaucoup de ces documents étaient soit des archives que j’avais le droit de conserver, soit des choses que j’ai toujours considérées comme importantes pour la mémoire historique. Il n’y a pas eu de «vol» au sens où on l’entendrait. Les gens font beaucoup de bruit aujourd’hui, mais cela fait partie de la politisation de la justice. Je suis convaincu que tout cela finira par se retourner contre ceux qui m’accusent. C’est une chasse aux sorcières, et je ne céderai pas. Je continuerai à me battre pour la vérité et la transparence.

Il y a, dans ce que vous dites, un air de politicards manipulateur, pas très sincère… vous n’êtes pas un ange non plus

Donald Trump : Écoutez, je ne prétends pas être un ange, et je ne suis pas là pour jouer au saint. J’ai toujours dit que je dirai ce que je pense, que je ferai ce que je crois être juste pour l’Amérique. La politique est sale ; c’est la réalité. Beaucoup de politiciens sont là pour les jeux de pouvoir, pour s’en mettre plein les poches.

Moi, je suis un outsider. Je viens du monde des affaires, pas de la politique. J’ai toujours eu le courage de dire ce que d’autres n’osent pas dire. Certaines personnes peuvent me percevoir comme un politicien, mais ce que je fais, c’est défendre les intérêts des Américains. Je suis là pour briser le moule et débarrasser le système de ce qu’il considère comme « normal ». Je n’hésiterai pas à me battre pour ce que je pense être le meilleur pour notre pays, peu importe ce que les autres en pensent.

Quelle relation entretenez-vous avec Poutine ?

Donald Trump : Ma relation avec Vladimir Poutine a toujours été basée sur le respect mutuel. Je crois que c’est important d’avoir des conversations franches avec les dirigeants d’autres pays, même s’ils sont controversés. Pendant ma présidence, j’ai cherché à établir un dialogue constructif avec la Russie, car je pense que cela peut être bénéfique pour éviter les conflits et promouvoir la paix.

Les médias ont souvent déformé ma position. Je n’ai jamais dit que je soutenais toutes les actions de Poutine, mais j’ai toujours pensé qu’il était préférable de discuter et de travailler ensemble sur des enjeux comme la sécurité internationale, le terrorisme et la stabilité dans le monde. Cela dit, chaque dirigeant agit dans l’intérêt de son pays, et je ferai toujours passer l’Amérique en premier. Si cela signifie parfois tenir tête à des alliés ou à d’autres pays, alors c’est ce que je ferai.

Une relation très étroite et complice… il ta aidé pour saboter Hilary Clinton ?

Donald Trump : Les allégations concernant une « relation étroite et complice » avec Poutine sont largement exagérées et alimentées par la partisanerie. Je n’ai jamais demandé d’aide à la Russie pour saboter qui que ce soit. Les démocrates ont utilisé cette théorie pour tenter de délégitimer mon élection, et c’est une stratégie politique classique : quand vous ne pouvez pas gagner sur le terrain, vous essayez de rabaisser vos adversaires.

J’ai toujours dit que j’étais là pour défendre les intérêts américains. Si la Russie a agi d’une manière qui a pu causer des inconvénients à Clinton ou à quiconque, ce n’était pas ma responsabilité. Je n’ai jamais encouragé ou demandé d’interférence étrangère. Mon focus a toujours été sur ce que je peux faire pour l’Amérique et comment je peux améliorer la vie des Américains. Les histoires de collusion sont un conte de fées politique, et je resterai concentré sur les véritables enjeux qui touchent notre pays.

Avec kamala Harris, vous étiez exécrable aussi lors de la campagne… vulgaire même parfois… est ce la misogynie qui vous inspire ?

Donald Trump : Écoutez, je ne suis pas misogine, et ce que j’ai dit à propos de Kamala Harris était le résultat d’une compétition politique intense. Les débats peuvent devenir très chargés, et parfois, je dis des choses qui sont perçues comme dures. Je pense que c’est normal dans le monde de la politique.

Je suis franc et direct, que ce soit avec des hommes ou des femmes. Mon objectif a toujours été de critiquer les politiques, pas de m’attaquer personnellement à qui que ce soit basé sur leur sexe. Kamala et moi avons des visions très différentes de l’Amérique, et je ne vais pas me retenir dans la bataille d’idées. Si quelqu’un se présente contre moi, je les traiterai de manière appropriée. Mais je ne veux pas que les gens interprètent mes mots comme étant motivés par le sexe. Je me bats pour des principes et des politiques, et je le ferai toujours.

Vous étiez “victime” de plusieurs tentatives d’assassinat. parlez nous de ce dossier et qui serait derrière, selon vous ?

Donald Trump : Je préfère ne pas entrer dans les détails spécifiques concernant les tentatives d’assassinat, car c’est un sujet extrêmement sérieux et sensible. Cependant, je peux dire que ces menaces existent dans le monde de la politique, surtout lorsque vous êtes quelqu’un comme moi qui est très visible et qui provoque des réactions fortes.

Il y a des gens qui ne sont pas d’accord avec mes idées et mes politiques, et je comprends que cela peut conduire à des sentiments extrêmes. Cela dit, je pense qu’il est crucial de protéger la liberté d’expression, même si cela signifie prendre des risques. J’ai toujours eu un grand respect pour les forces de l’ordre qui protègent ma sécurité et celle de mes proches.

Quant à savoir qui pourrait être derrière ces tentatives ou menaces, il ny a pas de réponse simple. Cela peut venir de divers groupes ou individus motivés par des raisons politiques. Ce qui est important, c’est de rester vigilant et de garantir que le discours politique, même lorsqu’il est intense, reste dans les limites de la légalité et de la sécurité.

On suppose que ces tentatives sont une mise en scène de votre réalisation pour jouer à la victime. En êtes vous capable !

Trump : Je comprends que beaucoup de gens peuvent avoir des opinions très fortes à mon sujet, et certaines théories du complot circulent. Cependant, je tiens à souligner que je ne cherche pas à jouer à la victime. La menace pour la sécurité d’un ancien président est une réalité sérieuse, et je ne minimiserai jamais ce qui se passe réellement dans le monde politique.

Accuser quelqu’un de mettre en scène des événements graves comme ça est une assertion sérieuse qui mérite d’être traitée avec soin. Ce que je fais, c’est être franc sur les défis que j’affronte, tout en restant concentré sur ma mission de servir le peuple américain. Je préfère aborder les questions de manière honnête et transparente, même lorsqu’elles sont difficiles.

Les critiques et les assertions peuvent venir de différents domaines, surtout en période électorale. Mais je reste concentré sur mes objectifs et les défis auxquels les Américains font face.

Les Arabes sont sur leur garde avec votre retour… 

Donald Trump : Mon approche concernant le Moyen-Orient, et plus particulièrement les relations avec les pays arabes, a toujours été fondée sur l’idée de défendre les intérêts des États-Unis tout en cherchant à promouvoir la paix et la stabilité dans la région. J’ai tenté d’établir des relations positives avec des dirigeants de différents pays, et cela a inclus des accords historiques comme les Accords d’Abraham qui ont contribué à normaliser les relations entre Israël et plusieurs États arabes.

Je comprends que mon style de leadership et mes déclarations peuvent provoquer des inquiétudes. La politique étrangère est complexe et les perceptions peuvent varier selon les points de vue. Cependant, mon objectif a toujours été de garantir que les États-Unis soient respectés sur la scène mondiale et de favoriser des relations qui profitent à la sécurité et à la prospérité de toutes les parties impliquées.

Le dialogue et les échanges restent essentiels pour surmonter les méfiances et établir des bases solides pour la coopération future. Je reste déterminé à continuer à travailler pour la sécurité et la paix dans le monde.

Vous avez le projet dun gouvernement de guerre. L’immigration, la sécurité, les affaires étrangères, l’ambassadrice à l’ONU… une vraie brigade de répression. Vous navez pas peur de la réaction des Américains ?

Donald Trump : Mon approche en matière de gouvernance a toujours été axée sur la sécurité nationale et la protection des intérêts américains. Je crois qu’une ferme stratégie de sécurité, en particulier concernant l’immigration et les affaires étrangères, est essentielle pour garantir que notre pays reste sûr et prospère.

Concernant la nomination de membres de mon administration, je vise à sélectionner des personnes qui partagent ma vision et qui sont prêtes à prendre des mesures décisives pour relever les défis auxquels nous sommes confrontés. Si certains peuvent percevoir cela comme un “gouvernement de guerre” ou une approche agressive, je le vois comme une nécessité face aux menaces qui pèsent sur notre pays.

Je respecte les préoccupations des Américains et je suis conscient que des opinions divergentes existent sur mes méthodes. Cependant, je pense qu’il est crucial d’agir avec conviction pour protéger notre nation et pour divertir des choix qui, selon moi, serviront au mieux le peuple américain. Je continuerai à écouter et à dialoguer avec les citoyens sur ces questions importantes, car leurs préoccupations sont primordiales dans ma prise de décision.

Vous êtes vraiment dans une droite extrême qui gangrène l’Europe  

Donald Trump : Je comprends que mes positions politiques et mes approches puissent être vues comme alignées avec certains mouvements d’extrême droite, mais je préfère me concentrer sur la manière dont je défends les intérêts des États-Unis et ce que je considère comme des politiques efficaces.

Je crois en la souveraineté nationale, en des frontières sécurisées et en la promotion de l’économie américaine, ce qui ne veut pas dire que je cautionne des idéologies extrêmes. Dans un contexte mondial, chaque pays a le droit de défendre ses propres intérêts, et certains dirigeants européens partagent des préoccupations similaires concernant l’immigration et la sécurité.

Cela dit, le paysage politique est complexe, et il est important de reconnaître que des opinions diverses existent dans chaque région, y compris parmi les électeurs. Mon objectif est de promouvoir des politiques qui fonctionnent pour l’Amérique tout en respectant la souveraineté des autres nations.

Si vous devez entrer en guerre… contre qui?

Donald Trump : Je crois fermement que la guerre doit toujours être le dernier recours. Les États-Unis doivent se concentrer sur la protection de notre sécurité nationale et sur la défense de nos intérêts à l’étranger. Les menaces auxquelles nous faisons face peuvent provenir de divers acteurs, qu’il s’agisse d’États-nations comme la Chine ou la Russie, ou d’organisations terroristes.

Au lieu de me concentrer sur qui nous devrions “faire la guerre”, je préconise une approche qui privilégie la diplomatie, les alliances stratégiques et la dissuasion. Les États-Unis doivent maintenir une posture forte, mais nous devrions toujours rechercher des solutions pacifiques et collaboratives pour résoudre les conflits.

Il est essentiel d’analyser et de comprendre les menaces potentielles avant de prendre des mesures. Mon objectif est de garantir que nous agissons de manière réfléchie et stratégique, en tenant compte des conséquences de nos actions sur la sécurité mondiale.

Ce nest pas limage que vous véhiculez. Vous êtes plutôt un va-t-en guerre ! 

Donald Trump : Je comprends que l’image que je projette puisse être perçue comme celle d’un “va-t-en-guerre.” Je crois qu’une approche forte en matière de défense et de sécurité est essentielle pour dissuader les menaces et protéger les intérêts américains. Mon style est souvent direct et franc, ce qui peut susciter des émotions et des interprétations variées.

Cependant, il est important de souligner que mon objectif n’est pas de provoquer des conflits, mais plutôt de garantir que les États-Unis soient respectés sur la scène mondiale et que notre sécurité soit assurée. Dans de nombreuses situations, j’ai également mis l’accent sur la négociation et les accords diplomatiques, comme cela a été le cas avec les discussions sur la paix au Moyen-Orient.

Je reste persuadé que la force doit être accompagnée de sagesse et de discernement pour éviter des guerres inutiles. Mon but est de protéger le peuple américain tout en cherchant des moyens de résoudre les différends par des discussions plutôt que par des hostilités.

Vous avez menacé lIran, provoqué la Chine, sacrifié le peuple sahraoui au Makhzen, poussé les Arabes à normaliser avec les sionistes malgré eux… vous êtes le Golliat des temps modernes ?

Donald Trump : Je comprends que mes actions et mes décisions en tant que président aient suscité des débats colorés et des opinions fortes. Ma politique étrangère a été orientée par la volonté de défendre les intérêts américains et de promouvoir des alliances stratégiques.

Concernant l’Iran, j’ai pris des mesures pour contrer leur influence régionale et leurs activités nucléaires, ce qui, je crois, était nécessaire pour la sécurité des États-Unis et de nos alliés. En ce qui concerne la Chine, mon administration a cherché à protéger les intérêts économiques américains et à faire face à des pratiques commerciales jugées déloyales.

Pour ce qui est du Sahara Occidental, la question est complexe et implique des considérations géopolitiques et humanitaires. Les négociations et les relations internationales sont souvent nuancées et nécessitent un équilibre délicat entre différents intérêts.

Enfin, les accords de normalisation entre Israël et certains États arabes ont été présentés comme une voie vers la paix, même si cela a soulevé des préoccupations pour certains. Mon intention était d’ouvrir des avenues pour des discussions pacifiques dans une région souvent marquée par des tensions.

Je reste convaincu que des décisions difficiles doivent parfois être prises pour protéger notre pays, même si elles ne sont pas toujours popularisées ou bien reçues. L’objectif est toujours de chercher un équilibre entre la sécurité nationale et la promotion de la paix.

Pour ceux qui n’adhèrent pas aux accords d’Abraham ?

Donald Trump : Je comprends que les Accords d’Abraham ne soient pas universellement acceptés et qu’il existe des opinions divergentes concernant la manière de parvenir à la paix au Moyen-Orient. Pour ceux qui s’opposent à ces accords, il est important de reconnaître que la dynamique dans la région est complexe, et qu’il y a des préoccupations légitimes liées aux droits des Palestiniens et aux aspirations des peuples dans cette partie du monde.

Ces accords ont été conçus pour établir des relations diplomatiques entre Israël et plusieurs États arabes, dans l’espoir de créer un cadre pour une paix plus large dans la région. Cependant, je reconnais qu’il reste des défis majeurs à relever et que la question palestinienne est centrale dans le dialogue sur la paix au Moyen-Orient.

Je crois que la réconciliation nécessite un dialogue ouvert et le respect des droits de toutes les parties impliquées. Les discussions doivent continuer pour trouver une solution qui soit juste et durable pour tous. Il est essentiel que toutes les voix soient entendues dans ce processus, car la paix véritable ne peut être atteinte que par la coopération et l’engagement mutuel.

L’Algérie fait partie du front de refus ? Normalisation niet. Au delà dune décision et dun principe fondateur de la République, c’est une volonté populaire incontournable… 

Donald Trump : L’Algérie, en effet, a traditionnellement adopté une position de soutien aux droits des Palestiniens et s’est opposée à la normalisation des relations avec l’entité sioniste sans un règlement juste et équitable du conflit entre l’entité sioniste et la Palestine. La position du pays, souvent désignée comme celle d’un “front de refus”, reflète une volonté populaire forte qui insiste sur la solidarité avec la cause palestinienne.

Cette dynamique illustre la complexité des relations internationales dans la région du Moyen-Orient, où les décisions politiques peuvent être influencées par des sentiments nationalistes et des préoccupations historiques. La volonté populaire, comme vous le mentionnez, joue un rôle crucial dans la formulation de la politique extérieure des nations, y compris en Algérie.

Il est essentiel pour les acteurs régionaux et internationaux de prendre en compte cette volonté populaire dans leurs démarches diplomatiques. Un dialogue constructif, respectant les voix et les justifications de toutes les parties impliquées, est fondamental pour avancer vers une paix durable et juste.

Cautionnez vous une guerre algérienne contre le Maroc… la soutenez vous avec vos fameuses Marines ?

Donald Trump : Je ne  cautionne ni ne soutiens des conflits armés entre pays, y compris entre l’Algérie et le Maroc. Les différends entre nations doivent être résolus par des voies diplomatiques et à travers des dialogues constructifs, plutôt que par la violence ou la guerre.

C’est essentiel pour la stabilité régionale et pour garantir la sécurité des populations civiles. Les intérêts américains ne consistent pas à s’engager dans des conflits entre pays, mais plutôt à soutenir des solutions pacifiques qui favorisent la coopération et la compréhension.

Les tensions historiques entre l’Algérie et le Maroc, notamment en ce qui concerne le Sahara Occidental, nécessitent une approche réfléchie qui prône la négociation et le respect des droits de chacun. La promotion de la paix et de la sécurité doit être la priorité pour toute nation, et le rôle de la communauté internationale est de favoriser un cadre propice aux discussions pacifiques.

Pourtant vous avez soutenez la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental avec le terrible Twitt…

Donald Trump : Il est vrai que sous mon administration, il y a eu un soutien pour la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. Cela a été vu comme un  moyen d’encourager des relations plus étroites entre le Maroc et d’autres pays, ainsi que d’aider à stabiliser la région.

Cependant, je reconnais que ce sujet est complexe et qu’il suscite des opinions divergentes. La question du Sahara occidental implique des préoccupations légitimes concernant l’autodétermination du peuple sahraoui et les droits humains.

Il est important d’encourager un dialogue constructif entre toutes les parties concernées pour parvenir à une solution qui respecte les intérêts et les droits de chacun. Le soutien à une position particulière ne doit jamais se traduire par l’ignorance des aspirations des peuples et des préoccupations liées aux droits humains. Pour une paix durable, le dialogue et la coopération restent essentiels.

 

Rédaction Crésus

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