La situation au Moyen-Orient connaît une escalade alarmante, avec l’Iran qui intensifie ses attaques contre l’entité sioniste.
La situation au Moyen-Orient connaît une escalade alarmante, avec l’Iran intensifiant ses attaques contre l’entité sioniste. Des informations rapportées par la Radio sioniste officielle indiquent, qu’en l’espace de trente minutes, plus de 250 missiles balistiques auraient été tirés, incitant le ministère sioniste des Affaires étrangères, à demander à la population de se réfugier dans des abris. Cette mesure d’urgence reflète la gravité de la menace.
Ces frappes ont été revendiquées par le corps des Gardiens de la Révolution, qui a précisé que les cibles militaires se trouvaient dans les territoires palestiniens occupés. Le commandement iranien a également averti, qu’une riposte militaire sioniste entraînerait des représailles d’une ampleur sans précédent. Cette flambée de violence survient dans un contexte déjà tendu, par l’assassinat récent d’Ismaïl Haniyeh, leader du Hamas, et de Hassan Nasrallah, chef du Hezbollah, des événements qui perturbent l’équilibre fragile de la région.
L’impact des attaques est immédiat : l’armée sioniste a confirmé des dégâts causés par la chute d’un missile iranien sur un bâtiment, au Nord de Tel Aviv. Cette menace pesant sur les infrastructures sionistes accentue la pression sur le gouvernement de Benjamin Netanyahu, pour agir rapidement.
De l’autre côté de l’Atlantique, la Maison Blanche n’est pas restée inactive. Joe Biden a ordonné à l’armée américaine de soutenir les sionistes, soulevant des inquiétudes, quant à une possible escalade des échanges de tirs entre Téhéran et Tel Aviv. Washington envisage même la possibilité d’une frappe sioniste sur les installations nucléaires iraniennes, un scénario qui préoccupe les analystes internationaux.
La région est désormais au bord de l’embrasement, impliquant non seulement l’occupant sioniste et l’Iran, mais aussi la Syrie, le Liban, le Yémen, l’Égypte et la Jordanie. La dynamique de la violence pourrait rapidement se propager, exacerbant des conflits déjà latents.
L’Iran avait déjà promis de riposter à l’assassinat de Nasrallah, ainsi qu’à celui d’Ismaïl Haniyeh, tué lors d’un attentat à Téhéran. Ces événements ont suscité une vague de condamnations au sein du régime iranien, amplifiant les tensions. Le Pentagone a confirmé le soutien indéfectible des États-Unis à l’entité sioniste, face aux menaces que représente l’Iran et son réseau d’agents. Ce soutien souligne l’urgence dune diplomatie proactive, pour désamorcer cette situation explosive.
Chaque mouvement militaire est actuellement scruté avec une attention particulière, tandis que l’ombre d’un conflit généralisé plane sur le Moyen-Orient. Les acteurs internationaux doivent s’unir pour prévenir une escalade aux conséquences dévastatrices pour toute la région.
Dans notre précédente édition, nous rapportions que des sources libanaises affirmaient, qu’une taupe iranienne aurait informé l’entité sioniste de la présence de Nasrallah, dans la banlieue Sud de Beyrouth. Cet assassinat souligne le degré élevé d’infiltration au sein de la branche armée du Hezbollah. Le porte-parole de l’armée sioniste a indiqué, que l’armée possédait une «connaissance en temps réel» des déplacements de Nasrallah.
Les précédents sont préoccupants : le chef politique du Hamas, Ismaïl Haniyeh, avait également été tué à Téhéran, sa mort ayant été annoncée par les Gardiens de la Révolution. Ces assassinats mettent en lumière une infiltration sioniste significative, au sein du Hezbollah et des services iraniens.
Par ailleurs, Esmaïl Khatib, le chef du renseignement iranien, n’a pas mentionné de riposte iranienne suite à la mort de Nasrallah, précisant que lIran navait jamais vengé un non-Iranien décédé pour la République islamique. Il devrait s’inquiéter de la facilité avec laquelle les sionistes réalisent des assassinats, même au cur de Téhéran. L’entité sioniste, ayant infiltré le Hezbollah, aurait probablement réussi à infiltrer également les Gardiens de la Révolution.
Enfin, il est crucial de noter que la réaction iranienne semble tardive depuis la mort de Haniyeh, révélant les difficultés auxquelles Téhéran est confronté, pour gérer ses réponses face à une escalade de violence et d’assassinats ciblés dans la région.
Assia M.